Les 2 dernières nouvelles : "Le Pourvoyeur de cadavres" et "Les Gais lurons" ne font pas partie du recueil original. "Le Pourvoyeur de cadavres" est nommée "Le Détrousseur de cadavres" dans la table des matières et la bibliographie.
Comme emporté par un tapis volant dans le temps et l'espace, l'inspiration de Stevenson y contemple la peur, la mort, l'étrange. Dans le Moyen-Age français, le poète François Villon surpris entre un crime et un larcin ; le Sire de Malétroit et le visiteur imprudent qu'il somme de choisir entre la mort ou .. Et sur la fin du XIXe siècle anglais, des trafiquants de cadavres pris au piège de l'horreur ; l'habitant d'un pavillon perdu dans les dunes dont l'existence contrarie une Révolution d'Italie ; le cimetière des bateaux assassinés par les naufrageurs, autour duquel la mer et les récifs composent une sonate fantastique.
1 - Le Pavillon sur les dunes (The Pavilion on the Links, 1880), pages 7 à 93, nouvelle, trad. Jacques PARSONS 2 - Un Gîte pour la nuit (Une Histoire de François Villon) (A Lodging for the Night, 1877), pages 95 à 126, nouvelle, trad. Jacques PARSONS 3 - La Porte du sire de Malétroit (The Sire de Malétroit's Door, 1878), pages 127 à 159, nouvelle, trad. Jacques PARSONS 4 - La Providence et la guitare (Providence and the Guitar, 1878), pages 161 à 206, nouvelle, trad. Jacques PARSONS 5 - Le Pourvoyeur de cadavres (The Body Snatcher, 1884), pages 207 à 237, nouvelle, trad. Jacques PARSONS 6 - Les Gais lurons (The Merry Men, 1882), pages 239 à 316, nouvelle, trad. Jacques PARSONS 7 - François Villon étudiant, Poète et cambrioleur (François Villon, Student, Poet, and Housebreaker, 1877), pages 319 à 356, article, trad. Jacques PARSONS 8 - Les Nouvelles mille et une nuit vues par l'auteur, pages 357 à 363, article, trad. Jacques PARSONS 9 - Fanny VAN DE GRIFT-STEVENSON, Quand nous jouions à Sheherazade, pages 367 à 375, article, trad. Jacques PARSONS