Quatrième de couverture
Si le "Tiers", le "Quart" et le "Cinquième livre" foisonnent de situations burlesques et de péripéties plus extravagantes encore que celles de "Gargantua" ou de "Pantagruel", leur ton a changé. Rabelais ne se contente plus de bouffonneries et sa satire devient plus acerbe. A l'abri de son "bon géant", il attaque de front son époque, ses superstitions et son intolérance. Le tableau qu'il brosse ainsi de la renaissance n'en devient que plus riche et plus passionnant.
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