Quatrième de couverture
[texte de rabat de la couverture]
Charlotte Perkins Gilmman est née à Hartford le 3 juillet 1860 aux Etats-Unis de Mary et Frederick Beecher Perkins. Abandonnée par son mari, la mère de Charlotte et ses enfants subsistent grâce au soutien de leur famille et de leurs relations. Passant de maison en maison, Charlotte vit une enfance assez difficile. Très vite, elle se lance dans l’écriture, dans le dessin et la peinture : une manière pour elle de s’évader. À l’âge de 24 ans, elle épouse Charles Walter Stelton. De cette union naît une fille, Katerine. En 1887, elle se sépare de son mari et lui laisse la garde de sa fille, une attitude bien peu conventionnelle pour une femme à l’époque.
La Glycine géante est la première nouvelle écrite par Perkins Gilman. On y découvre déjà les prémices d’une dénonciation de la société patriarcale ainsi que l’affirmation du combat féministe de l’autrice. Les trois nouvelles présentées ici gravitent autour d’un locus spécifiquement féminin : la maison. Maisons hantées dans La Glycine géante et Le Rocking-Chair, nouvelles publiées respectivement en 1889 et 1893 ; champêtre cabanon estival, dans un récit apaisé mais tout aussi caustique, La Cabane, paru bien des années plus tard (1910).
Sommaire
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1 - Paule LÉVY, Préface, pages 5 à 9, préface2 - La Glycine géante (The Giant Wistaria, 1891), pages 13 à 24, nouvelle, trad. Virginie WALBROU3 - Le Rocking-Chair (The Rocking Chair, 1893), pages 27 à 42, nouvelle, trad. Virginie WALBROU4 - La Cabane (The Cottagette, 1910), pages 47 à 58, nouvelle, trad. Virginie WALBROU
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