Ce matin-là, Amadis Dudu rata l'autobus. Or, non seulement ce contre-temps ne compromit en rien sa journée, mais il l'engagea au contraire dans une série d'aventures bien extraordinaires, où se trouvaient mêlées toutes sortes de personnes au milieu desquelles il n'allait du reste pas tarder, lui Dudu, à se perdre ; mais cela n'était pas gênant du tout, au contraire. Inutile d'ajouter que rien dans cette histoire ne concerne l'automne, ni Pékin.
Le livre de Boris Vian est très drôle et tout à fait déchirant. À l'image de son auteur, lequel ne trouva le succès qu'après sa mort.
1 - François CARADEC, Avant de relire "L'Automne à Pékin", pages 285 à 298, postface
2 autres éditions de ce texte dans nooSFere : - in L'Automne à Pékin (UGE (Union Générale d'Éditions) - 10/18, 1964) sous le titre Avant de relire "l'automne à Pékin" - in L'Automne à Pékin (UGE (Union Générale d'Éditions) - 10/18, 1977) sous le titre Avant de relire "l'automne à Pékin"