Quatrième de couverture
Qu'est venu faire François Valmont dans ce bled du Cantal ? Un vieil ami perdu de vue depuis longtemps l'y a certes invité pour fêter son anniversaire. Mais pourquoi la maison, est-elle vide à son arrivée ? Et qui a signé d'un M griffu le mot sur la table de la cuisine qui l'enjoint à faire comme chez lui ? Marianne ou Muriel ? En restant là, le narrateur ne se doute pas qu'il met le pied dans un labyrinthe qui va l'entraîner au bout de la folie et de la mort. Ne se doute pas ? Et si cette aventure, il l’avait déjà vécu... Avec Incendie d'août, Jean-Pierre Andrevon, qui a reçu le Grand Prix de la Science-Fiction en 1990 pour Sûkran, nous offre une ses œuvres les plus personnelles et les plus abouties. Un thriller sourdement angoissant, un récit hypnotique et obsessionnel, une histoire d'amour et de mort qui se tient sur la corde raide, entre fantastique et polar. Les vieux maîtres, Boileau-Narcejac et William Irish, ne sont pas loin.
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