Morts qui refusent leur condition, personnages providentiels, et hasard malheureux du destin, Jules Lermina nous livre quatre histoires palpitantes dans lesquelles les criminels sont peints avec un enthousiasme à peine voilé, les braves gens pointés dans leur naïveté, et les riches éclairés d’une bien sombre lanterne. De réjouissants exemples de l’art du roman populaire.

Jules Lermina, né le 27 mars 1839 à Paris et mort le 23 juin 1915 à Paris, fut romancier et journaliste. Après avoir exercé divers métiers et tenté sans succès de se lancer dans les affaires, il entama une carrière journalistique en 1859 et s’engagea du côté des socialistes, ce qui lui valut plusieurs séjours en prison et le soutien de Victor Hugo. Ses premiers romans parurent sous le pseudonyme de William Cobb. Il laissa une œuvre abondante, qui comprend des romans d’aventures, ainsi que des romans policiers, des contes inspirés par son intérêt pour les sciences occultes, un dictionnaire biographique et un dictionnaire d’argot.