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Omnivore / Orn

Piers ANTHONY

Cycle : Omnivore vol. 1/2 

Traduction de Jacques PARSONS
Illustrations intérieures de Bernard MORO

OPTA (Paris, France), coll. Club du livre d'anticipation précédent dans la collection n° 43 suivant dans la collection
Dépôt légal : juin 1973, Achevé d'imprimer : 20 juin 1973
Recueil de romans, 478 pages, catégorie / prix : nd
ISBN : néant
Format : 13,5 x 20,0 cm
Genre : Science-Fiction

Tirage limité à 5000 exemplaires numérotés de 1 à 5000 et à 120 exemplaires hors-commerce de collaborateurs marqués H.C.


Quatrième de couverture

[texte de la quatrième de jaquette]

Interrogés, les "grands" de la science-fiction d'aujourd'hui citent volontiers les noms de ceux qui semblent promis à la gloire : James Tiptree, John T. Sladek, Michael Coney, T. J. Bass et Piers Anthony. Les deux romans de Piers Anthony que nous vous proposons, les 2e et 3e qu'il ait écrits, ses chefs-d'œuvre à ce jour, révèlent en lui un "orthodoxe" de la science-fiction, un jongleur d'idées nouvelles, et un merveilleux conteur.

OMNIVORE et ORN constituent un long roman dont les personnages attachants sont définis, au fond, par leur subsistance - ils sont ce qu'ils mangent : herbivores, carnivores, omnivores. Ainsi, prolongeant les actuelles préoccupations écologiques, Piers Anthony surgit au premier plan de la science-fiction la plus vivante.

Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Omnivore (Omnivore, 1968), pages 7 à 182, roman, trad. Jacques PARSONS, illustré par Bernard MORO
2 - Orn (Orn, 1971), pages 187 à 473, roman, trad. Jacques PARSONS, illustré par Bernard MORO
Critiques
 
     Critique tirée de la rubrique « Diagonales » signée par Alain Dorémieux
     Piers Anthony est encore pratiquement inconnu en France. C'est pourtant aux Etats-Unis un des professionnels les plus en vue, parmi les auteurs de SF qui se sont révélés depuis la fin des années 60. Mais attention à ne pas confondre : Piers Anthony n'est pas un auteur du style new wave. Il serait plutôt un tenant, si j'ose dire, de l'old wave revival : c'est-à-dire qu'il se situe plutôt du côté de Larry Niven que de Harlan Ellison. Sauf une différence qui a son prix : il est plus intelligent que Niven et il a plus d'idées. Ce qui lui permet dans ces deux romans, tout en puisant à l'imagerie la plus classique et la plus rebattue de la SF, de tisser des œuvres intéressantes dont les thèmes sont orchestrés de façon subtile. Pas très convaincant, par contre, l'effort du C.L.A. pour les relier, dans sa publicité, aux « actuelles préoccupations écologiques ». C'est là attribuer à Anthony — qui cherche avant tout à distraire son lecteur — des intentions assez éloignées de lui.

Alain DORÉMIEUX
Première parution : 1/1/1974 dans Fiction 241
Mise en ligne le : 15/11/2015

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