Habituellement, Bob Morane quitte la ville pour découvrir l’aventure exotique. Là, j’ai voulu faire entrer l’aventure exotique dans la cité puisqu’un Indien scalpe des gens en pleine ville. En renversant le schéma traditionnel, j’ai découvert de nouvelles possibilités.
Henri Vernes au sujet de "Le Sentier de la Guerre"

Dans ce XLème recueil signé Henri Vernes :
Panne Sèche à Serado (118)
Que la République de Serado possède un président fou, c’est presque naturel. Que des révolutionnaires veuillent renverser ce président, cela demeure dans la norme des choses. Mais où tout se gâte c’est quand, à la suite d’un atterrissage forcé, Bob Morane et Bill Ballantine sont mêlés à l’affaire. Surtout que le président fou possède une fille adorable et que, tout compte fait, il n’est pas tout à fait aussi fou qu’on voudrait le faire croire.
L'Epée du Paladin (119)
Méfiez-vous si, la nuit, quelqu'un vient sonnez à votre porte. Surtout si c'est pour vous demander d'essayer une nouvelle machine à explorer le Temps. Bien sûr, les voyages forment la jeunesse. Pourtant, méfiez-vous quand même. Ce que Bob Morane aurait dû faire. Car un voyage dans le Temps, on sait toujours OU ça commence, mais jamais QUAND ça finit.
Le Sentier de la Guerre (120)
Ce n'est pas tous les jours qu'un indien - oui un Peau-Rouge... enfin quelqu'un qui se prend pour un Peau-Rouge -, ce n'est pas tous les jours qu'un indien scalpe des gens au beau milieu d'une grande ville européenne. Et pourtant, ces choses-là arrivent - par extraordinaire ! Et quand elles arrivent, il n'y a que Bob Morane et Bill Ballantine pour y faire face ! Et pour une fois le sentier de la guerre passe par les rues de Bruxelles...