En Jack London se rencontrèrent et fraternisèrent deux idéologies contraires ; la doctrine darwiniste de la survivance du plus apte dans la lutte pour la vie et l'amour infini de l'humanité.
On a dit qu'il était le fils illégitime d'un astrologue ambulant, signe prophétique de son destin vagabond. Son école, ce furent les bas-quartiers de San Francisco, surnommés la « côte de Barbarie », qui méritèrent leur mauvaise réputation en raison de leur pègre dangereuse.
Il mourut, à quarante ans, après avoir épuisé jusqu'à la lie la vie de son corps et celle de son esprit. Aucune des deux ne le satisfit entièrement et il chercha dans la mort la sombre splendeur du néant.
1 - Jorge Luis BORGES, Introduction, pages 9 à 13, introduction, trad. Sarah LEIBOVICI 2 - Les Morts concentriques (The Minions of Midas), 1901), pages 17 à 39, nouvelle, trad. (non mentionné) 3 - L'Ombre et la chair (The Shadow and the Flash, 1903), pages 41 à 67, nouvelle, trad. François POSTIF 4 - La Loi de la vie (The Law of Life, 1901), pages 69 à 81, nouvelle, trad. (non mentionné) 5 - La Face perdue (Lost Face, 1908), pages 83 à 108, nouvelle, trad. (non mentionné) 6 - La Maison de Mapouhi (The House of Mapuhi, 1909), pages 109 à 147, nouvelle, trad. (non mentionné)