UN SUSPENSE QUOI EN DIR LONG
SUR LA NARYRE HUMAINE...
QUAND SOUFFLE LE VENT, Diana ne sait plus ce qu'elle fait. Elle devient quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui est obnubilé par des pleurs d'enfants, des enfants qu'il faut punir.
QUAND SOUFFLE LE VENT, la ville d'Amberton ne dort plus du sommeil du juste. Ses nuits sont perturbées. On retrouve des cadavres dont on ne connaît pas l'assassin.
QUAND SOUFFLE LE VENT, la petite Kristie, qui vient de perdre son père, sait qu'elle ne doit pas pleurer. Seuls pleurent les enfants méchants, et elle ne veut pas être méchante. Elle ne peut pas être méchante.
QUAND SOUFFLE LE VENT, la mine désaffectée se lamente et une légende indienne ressurgit d'un passé lointain, un passé qui ne laisse rien présager de bon.
Quand s'arrêteront les pleurs dans la mine ?
Quand finira le cauchemar pour Amberton ?
John Saul réussit ici le portrait de trois femmes, la fille, la mère et la grand-mère, saisissant de vérité.
JOHN SAUL
A publié son premier roman en 1977. Il devient immédiatement un best seller. Depuis, une vingtaine de romans l'ont placé en tête du hit-parade des ventes mondiales. Récemment, son feuilleton, « Les Chroniques Blackstone », s'est vendu en français à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires chez J'ai Lu. Un maître digne de Srephen King et Dean Koontz. Du même auteur aux éditions Claude Lefrancq : La Ruche et Foudre noire.