Le livre porte un dépôt légal en mai 2019, mais il s'agit d'une erreur. Ce numéro comprend un supplément électronique (scan de droite), réservé aux abonnés. Il est référencé ici dans les pages II (2) à LX (60). Existe aussi, tout en couleurs, incluant le supplément, aux formats PDF imprimable, Epub, Mobipocket/Kindle et AZW3.
1 - Hugo VAN GAERT, Ah, les Garçons !, pages II à XI, nouvelle 2 - Sébastien DANIELO, Fondation, pages XII à XXIII, nouvelle 3 - Renaud BERNARD, Le Cid, pages XXIV à XLII, théâtre 4 - Jean-Michel ARCHAIMBAULT, Résumé des Cycles Perry Rhodan parus au Fleuve noir, pages XLIII à L, résumé 5 - Fabrice LEDUC, (S)trips, pages LI à LX, critique(s) 6 - (non mentionné), Grégory Fromenteau, pages 2 à 2, biographie 7 - Pierre GÉVART, Éditorial, pages 3 à 3, éditorial 8 - Betty BIEDERMANN, Cristal, pages 4 à 14, nouvelle 9 - Ken LIU, Nouer des liens (Tying Knots, 2011), pages 15 à 28, nouvelle, trad. Jean-Michel CALVEZ 10 - Antoine LENCOU, Baignade en eau vive, pages 29 à 44, nouvelle 11 - Rich LARSON, Décrassage (Scrubbed, 2019), pages 45 à 52, nouvelle, trad. Émilie LARAMÉE 12 - Marc ELDER, Futurisme, pages 53 à 55, nouvelle 13 - Paul HANOST, Le Grand Jeu, pages 56 à 61, extrait de nouvelle 14 - Jean-Louis TRUDEL, La SF au Québec (et en Ontario), pages 63 à 64, dossier 15 - Jean-Louis TRUDEL, Les Quatre époques de la SF francophone au Canada, pages 65 à 100, article 16 - Jean-Louis TRUDEL, Entretien avec Yves Meynard, pages 101 à 106, entretien avec Yves MEYNARD 17 - Émilie LARAMÉE, La Traduction de textes de science-fiction en français : le cas de Rich Larson, pages 107 à 113, article 18 - Dave CÔTÉ, Les Olives de 4H3SSO-L24A, pages 114 à 124, nouvelle 19 - Michèle LAFRAMBOISE, Tinkerbelles, pages 125 à 145, nouvelle 20 - Jean-Michel CALVEZ, Musique et SF, pages 148 à 152, critique(s) 21 - Jean-Michel ARCHAIMBAULT, Croisière au long du Fleuve #13 - K.H. Scheer et Clark Darlton, pages 153 à 163, article 22 - Pierre STOLZE, Sous le scalpel..., pages 164 à 168, critique(s) 23 - COLLECTIF, Notes de lecture, pages 170 à 185, critique(s) 24 - Fabrice LEDUC, (S)trips, pages 186 à 191, critique(s)
Critiques
Bon, ça n’arrivera pas tous les trimestres, ni même tous les ans (enfin si, peut-être, ils ne sont pas à l’abri d’un faux-pas en 2020), mais je vais vous conseiller l’achat du dernier Galaxies en date. (Éclairs, pluie de grenouilles, grèves de la fonction érectile, Donald Trump en short, Greta Thunberg qui sourit et autres plaies vont s’abattre sur un monde déjà bien éprouvé.)
Mais reprenons nos esprits. Voilà le top 5 des raisons qui devraient vous mener à ce numéro de Galaxies.
Number 5 (la plus faible, parce que de toute façon, vous êtes obligés d’acheter Son second recueil français – la majuscule divine n’est pas une faute de frappe) : on peut y lire une nouvelle de Ken Liu, « Nouer des liens ». Certes, la traduction n’est pas des plus convaincantes, et la nouvelle figure au sommaire du recueil évoqué entre parenthèses, Jardins de poussière (sous un autre titre, et dans une autre traduction), mais Ken Liu quoi.
Number 4 : il y a une nouvelle de Rich Larson au sommaire, «Décrassage». Comment, vous ne connaissez pas Rich Larson ? Mon petit doigt me dit que ça va changer… « Décrassage », sorte de Eternal Sunshine of theSpotlessMind revisité par une Femen armée d’un marteau-piqueur, est aussi fort que glauque. Par contre, la traduction québécoise…
Number 3 : il y a un copieux dossier sur la SF québécoise (et ontarienne de langue française), signé Jean-Louis Trudel.
Number 2 : dans ledit dossier, on peut lire l’interview d’un Yves Meynard qui ne mâche pas ses mots. Voilà ce qu’il dit du marché québécois : « On peut parler d’une explosion,jecrois.Lenombre d’auteurs et la production annuelle ont énormément augmenté — pour le meilleur et pour le pire. La SFCF [science-fictioncanadiennefrancophone]n’estplusaussifragile (encore que si on exclut la fantasy , c’est moins vrai) mais la qualité moyenne a baissé car bien des œuvres désespérément médiocres se publient allègrement . »
Ça ne vous rappelle rien ?
Quant à l’argument massue Number 1 : j’aurais pu trouver cinq bonnes raisons de ne pas vous conseiller la lecture de ce Galaxies NS61, et franchement, ça aurait été nettement plus rigolo.