Des rebelles texans kidnappent le Président des Etats Unis.

     Des chars israéliens foncent sur Crystal City pour le délivrer.

     Des Cubains débarquent et leur donnent un coup de main.

     On ne s'ennuie pas en 1999 !

     Le troisième « Contre-coup » abandonne le porno pour la politique — fiction : en 1999, les Etats-Unis, appuyés par des mercenaires israéliens et un corps expéditionnaire cubain (pourquoi pas ! ?), luttent contre le Texas qui a fait sécession après une guerre atomique située en 1992. Le roman n'est qu'une suite d'aventures guerrières sans un aucun regard critique, un simple prétexte à bagarres, où l'on note quand même une discrète exaltation du courage et de la grandeur d'âme des « héros positifs » : le colonel israélien, un général texan, le président des U.S.A. Il est inutile que les éditions du Sagittaire prennent sous contrat Lartéguy : c'est déjà fait.