Quatrième de couverture
Toute la littérature fantastique est pleine de « mutants » riches en monstruosités physiques.
Eux étaient tout à fait normaux. Extérieurement.
Mais foncièrement amoraux, sadiques, ne prenant leur plaisir que dans la souffrance des autres, inaccessibles à tout sentiment, à tout raisonnement, puisque irréversiblement pourris de l'intérieur, c'étaient eux, les nouveaux monstres à face humaine.
C'étaient les psychomutants.
|