Entre deux mondes incertains nous embarque de force dans des voyages généralement assez inquiétants pour nous débarquer sur des mondes qui ne sont pas beaucoup plus rassurants.
Jacques STERNBERG oscille entre plusieurs genres moins incertains : l'humour noir, le saugrenu, le fantastique et la satire vitriolée.
Comme l'a dit un jour un critique : il ne sert pas la science-fiction, il se sert de la science-fiction pour édifier en toute quiétude son monde personnel ; un monde où l'homme en prend pour son grade, où la planète Terre n'est pas beaucoup mieux traitée et où l'avenir ne peut que donner le frisson.
Sombres nouvelles, oeuvre noire certes, mais emportée dans le flot d'un humour ricanant qui change tout.
1 - Les Stryges, pages 9 à 37, nouvelle 2 - Le Monde a bien changé, pages 38 à 50, nouvelle 3 - Arrête-toi et regarde, pages 51 à 63, nouvelle 4 - Quoi ?, pages 64 à 77, nouvelle 5 - Contes brefs, pages 78 à 82, nouvelle 6 - Plus loin que la nuit, pages 83 à 86, nouvelle 7 - La Machine à sous, pages 87 à 88, nouvelle 8 - Le Délégué, pages 88 à 92, nouvelle 9 - Le But, pages 93 à 94, nouvelle 10 - L'Oubli, pages 95 à 96, nouvelle 11 - Le Passé, pages 97 à 98, nouvelle 12 - Guerre et paix, pages 99 à 101, nouvelle 13 - Ceci est mon testament, pages 102 à 110, nouvelle 14 - Univers zéro, pages 111 à 129, nouvelle 15 - Si loin du monde, pages 130 à 200, nouvelle 16 - 2001 + 1, pages 201 à 221, nouvelle 17 - Vos passeports, messieurs, pages 222 à 229, nouvelle 18 - Celui qui savait, pages 230 à 239, nouvelle 19 - Précis de l'Histoire du Futur, pages 240 à 252, nouvelle 20 - Le Navigateur, pages 253 à 265, nouvelle