Sur le rabat de la première de couverture
« La tour sombre, c'est tout d'abord le rêve d'un jeune homme, pas tout à fait sorti de l'enfance, pas encore rentré dans le monde des adultes, et peut-être pas près d'y rentrer. C'est l'histoire d'un fumeur invétéré, baladant une vieille machine à taper entre ses cours de fac et ses squats improvisés d'étudiant bohémien. C'est l'histoire d'un gamin qui, subissant le même choc que toute la génération Woodstock à la lecture des livres de Tolkien, se promit, lui aussi, de faire également un jour la même chose. Le temps passe, effaçant les rêves de gloire et d'écriture de tous les esprits sauf d'un : Stephen King... »
Science-Fiction Magazine
Sur le rabat de la quatrième de couverture
Stephen King fait partie de ces écrivains qu'il n'est plus besoin de présenter. Carrie, Shining, Christine... autant de romans — et souvent de films — mondialement célèbres. Mais rien ne compte plus à ses yeux que le cycle de La Tour Sombre, son Grand Œuvre, une saga-fleuve monumentale dont il entama l'écriture alors qu'il était encore étudiant. Pour lui elle restera « La Jupiter du système solaire de mon imaginaire. »
Sur la quatrième de couverture
La vallée de La Colla désormais apaisée, Roland et ses amis doivent reprendre leur quête.
Susannah manquant à l'appel, c'est tout le ka-tet qui est en danger, suspendu entre fiction et réalité.
Accompagnés du Père Callahan, les pistoleros n'ont d'autres choix que de franchir à nouveau la porte de la Grotte des Voix. Leur buts ? Arracher la rose aux mains des suppôts du Roi Cramoisi... et sauver leur sœur d'armes, possédée par la démoniaque Mia et enceinte d'une créature redoutable qui pourrait bien changer la face de l'univers.
Mais sur la route de l'énigmatique Tour Sombre, dont dépend le salut de tous les mondes, se trouve un bien étrange écrivain démiurge...