Il y a les exclus. Celui qui a tué un homme. Celle qui a volé du pain. Celui qui a été maudit par son père. Il y a les errants. Le peintre qui parcourt le continent, cherchant l'inspiration. Le chevalier qui a perdu la tête à la mort de son dragon. Les caravaniers comme les parents de Jayge, qui vont commercer de Fort en Fort.

Il y a Thella la rebelle, qui refuse le mari choisi par son frère et s'enfuit dans la montagne.

Trop paresseux pour se creuser un Fort ? Trop orgueillieux pour jurer allégeance à un Seigneur ? En tout cas, ils vivent dans un monde vaste et beau et veulent en voir le plus possible.

Mais quand reviennent les Fils, ils n'ont pas de murs pour les protéger. La colère gronde et Thella fonde la bande des renégats. Un idéal de violence et aussi, pour certains bannis, une espérance.

Thella est audacieuse et destructrice. Un jour, elle s'en prend à la famille de Jayge, puis à Aramina, la fille qui entend les dragons. Et ça, c'est trop pour Jayge.

Anne McCaffrey voyage dans l'histoire de Pern. La Dame aux dragons se passe mille ans avant, L'aube des dragons encore mille cinq cents ans avant. L'histoire de Nerilka nous ramène à La Dame aux dragons, et Les renégats de Pern reviennent au temps du Dragon blanc (mais avec d'autres personnages). Une incroyable quantité d'espace-temps où les relations humaines se nouent dans toutes les dimensions.