Quatrième de couverture
Ce livre est quasiment une prise de position. À la fois de Bob Morane et de moi. Nous y dénonçons le massacre de populations. Ici, il s’agit d’Indiens d’Amazonie, mais le propos aurait pu être situé dans bien d’autres endroits sur Terre.
Henri Vernes au sujet de "La Tête du Serpent"
Dans ce XLIVème recueil signé Henri Vernes :
Les Périls d'Ananké (130)
Ananké. A force d’en chercher la sortie, on s’y perd. Inexorablement. Ananké, c’est la peur. C’est les monstres. Le péril. N’importe quel homme s’y abandonnerait au désespoir. N’importe lequel, sauf un qui n’est pas comme les autres. Un nommé Bob Morane.
Guérilla à Tumbaga (131)
Un vieux « tramp » bourré d’armes, qui bourlingue à travers la mer des Caraïbes. Deux clowns sinistres, une ancienne catcheuse de 224 kilos. La guerre civile dans la petite république de Tumbaga. Un vrai panier de crabes, dans lequel Bob Morane et Bill Ballantine seront plongés jusqu’au cou. Mais ils n’ont pas leurs pareils pour arracher les pinces des crabes. Avec les dents s’il le faut.
La Tête du Serpent (132)
Dans l'enfer d'Amazonie, des hommes tuent. Sous le regard indifférent des autorités. Ils tuent des Indiens pour s'approprier leurs terres. Les Indiens n'ont pas leur place dans une civilisation basée uniquement sur le profit. Notre civilisation. Bob Morane endossera son armure et déclarera la guerre aux tueurs d'Indiens.
Sommaire
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1 - Avant-propos : Comment j'ai créé Bob Morane, pages 7 à 8, préface2 - Les Périls d'Ananké, page 9, roman3 - Guérilla à Tumbaga, page 230, roman4 - La Tête du serpent, page 344, roman
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