On parlait beaucoup, à l’époque du fameux “Triangle des Bermudes” et des mystérieuses disparitions qui s’y étaient produites. Je l’avais moi-même traversé plusieurs fois, et je ne pouvais qu’y entraîner Bob Morane.
Henri Vernes au sujet de "Dans le Triangle des Bermudes"

Dans ce XLVIIIème recueil signé Henri Vernes :
Dans le Triangle des Bermudes (142)
Il s'en passe des choses dans le Triangle des Bermudes. Des avions, des bateaux disparaissent... comme par "l'opération du Saint-Esprit" ! Mais le Saint-Esprit n'apparaît pas toujours sous la forme d'une colombe. Bob Morane en fera la dure expérience. Son rire continue à retentir jusqu'à ce qu'il ait disparu dans les profondeurs des douves. Alors, on devait entendre le craquement de la glace qui se brise sous le poids de son corps, puis le « plouf » que celui-ci fait dans l'eau. Logique. Mais rien. Ni craquement ni « plouf ». Je me penche et regarde vers l'endroit où le quidam doit s'être englouti. Mais rien non plus. La glace couverte de neige paraît intacte. Et elle fait même plus que paraître intacte : elle est intacte.
La Prisonnière de l'Ombre Jaune (143)
La Prisonnière de l'Ombre Jaune n'est autre que la belle Yolande de Mauregard, chère au cœur de Bob Morane. Mais, pour la secourir, au XIVe siècle, Bob et Bill Ballantine auront besoin de bien des complicités. Notamment de celle d'un troubadour aux habits de carnaval.
La Griffe de l'Ombre Jaune (144)
Pour vaincre Monsieur Ming, tous les moyens sont bons. « D'où cela venait-il ? Ni Morane ni Ballantine n'auraient pu le dire. Ils avaient beau scruter la pénombre du vaste hall, ils ne distinguaient rien. Pourtant cela se rapprochait. A chaque seconde, le bruit se faisait plus précis. Le bruit qu'aurait pu produire une gigantesque araignée marchant avec des pattes de fer. » Cette fois, pour vaincre l'Ombre Jaune, le courage de Bob Morane et de Bill Ballantine ne suffira pas. Il leur faudra l'aide de la descendante d'un vampire. Et, surtout, celle d'un château pas tout à fait comme les autres.