Quatrième de couverture
Le malaise de Goldstein devenait effrayant certitude. La torture mentale lui arrachait des gémissements. Les hommes autour de lui s’interrogeaient du regard, tendus dans l’attente d’une défaillance du mutant.
Goldstein tressaillit lorsque Mataal se mit à déstructurer le pseudo-corps flottant dans l’espace. Presque en même temps, le bourdonnement étouffant qui avait encombré sa tête se dissipa. Il respira avec soulagement. Avec une netteté aveuglante, il entrevoyait les actions abominables auxquelles il s’était prêté et qui faisaient de lui le point de mire de la haine générale.
Sommaire
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1 - William VOLTZ, La Terreur (Das Grauen, 1963), pages 9 à 101, roman, trad. Ferdinand PIESEN2 - William VOLTZ, Mission secrête sur Moluk (Geheimmission Moluk, 1963), pages 105 à 189, roman, trad. Ferdinand PIESEN
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