Claude Seignolle n'est plus à présenter. Blaise Cendrars, Jean Ray, Lawrence Durrell ont reconnu en lui, dès ses débuts, un maître de la littérature fantastique. « La façon dont Seignolle traite ses sujets d'épouvante, avec une lucidité terrifiante et une maîtrise qui les rend des plus convaincants — a écrit Lawrence Durrell — est une qualité qui ne peut appartenir qu'à un auteur français... Il a accompli l'étrange exploit de capturer dans les rets d'une prose souple, vivante et naturelle, les démons, loups-garous et autres vampires que ses recherches d'érudit lui ont fait découvrir ».
Tous ceux qui ont aimé « Un corbeau de toutes couleurs », « Contes macabres », « Les chevaux de la nuit », ou « Les évangiles du diable », retrouveront dans « Histoires vénéneuses », les mêmes maléfices, le même envoûtement, les mêmes charmes.
1 - Chaque chose à sa place, pages 7 à 26, nouvelle 2 - Une veillée, pages 27 à 35, nouvelle 3 - Le Venin de l'arbre, pages 37 à 50, nouvelle 4 - L'Odile, pages 51 à 60, nouvelle 5 - La Vierge maudite, pages 61 à 68, nouvelle 6 - La Fille gagnée, pages 69 à 79, nouvelle 7 - Les Roses d'en-haut, pages 81 à 87, nouvelle 8 - L'Impossédable, pages 89 à 95, nouvelle 9 - La Brume ne se lèvera plus, pages 99 à 214, roman