Poucette, née dans une tulipe ; le soldat de plomb courageux comme quatre ; le petit canard dont personne ne voulait ; le briquet magique ; Jean le Nigaud qui savait faire rire la fille du roi...
Voici des contes gais, tristes, merveilleux, qu'on lit vite et qu'on n'oublie plus.
1 - Poucette (Tommelise, 1836), pages 9 à 34, nouvelle 2 - La Petite fille aux allumettes (Den Lille Pige Med Svovlstikkerne, 1845), pages 35 à 43, nouvelle 3 - La Bergère et le ramoneur (Hyrdinden og Skorstensfejeren, 1845), pages 44 à 56, nouvelle 4 - L'Intrépide soldat de plomb (Den standhaftige tinsoldat, 1838), pages 57 à 68, nouvelle 5 - La Malle volante (Den flyvende Kuffert, 1839), pages 69 à 83, nouvelle 6 - Le Rossignol et l'empereur de Chine (Nattergalen, 1843), pages 84 à 108, nouvelle 7 - Les Habits neufs de l'empereur (Kejserens nye klæder, 1837), pages 109 à 120, nouvelle 8 - La Princesse sur un pois (Prinsessen paa Ærten, 1835), pages 121 à 124, nouvelle 9 - Le Vilain petit canard (Den grimme ælling, 1842), pages 125 à 149, nouvelle 10 - Ce que fait le vieux est bien fait (Hvad fatter gør, det er altid det rigtige, 1861), pages 150 à 161, nouvelle 11 - Jean le nigaud (Klods-Hans, 1855), pages 162 à 172, nouvelle 12 - Petit Claus et grand Claus (Lille Claus og store Claus, 1835), pages 173 à 197, nouvelle 13 - Le Briquet (Fyrtøjet, 1835), pages 198 à 215, nouvelle