Quatrième de couverture
Les 137 pensionnaires de l'asile, tous de dangereux criminels, avaient brusquement disparus sans laisser de trace. La police ne les avait jamais retrouvés. Comment aurait-on pu imaginer, ne serait-ce qu'une seconde, qu'ils s'étaient réfugiés dans les murs même de l'asile, à l'intérieur des murs ? Il n'y avait que les fous pour croire sérieusement à l'efficacité de la magie noire. Et les fous furieux pour s'en servir.
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