Quatrième de couverture
La variété des registres n'est pas le moindre des charmes de Michael Moorcock. Selon le propos, il passe avec un égal bonheur de l'épopée fantastique la plus fulgurante (Elric, Corum) à la fable de science-fiction moderne la plus déconcertante (Jerry Cornelius), sans oublier l'uchronie fantastique (Gloriana) ni — moins connu des lecteurs français — le roman historique ou réaliste. Une constante, pourtant, traverse son ceuvre : le goùt du « décalage », parfois grandiose, parfois subtil. Et qui n'est autre qu'une forme de l'humour. Car Michael Moorcock est anglais. Il ne faut donc pas s'étonner de le voir, dans la brève nouvelle que voici, se parodier lui-mème de manière inattendue. Traduit de l'anglais par Patrick Couton.
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