La nuit éteinte, c'est celle de Menzoberranzan, ma ville natale où ne luisent pas plus la lune que les étoiles. Aujourd'hui, pour défendre mes amis, je dois m'enfoncer encore dans les ombres.
Un seul mort était de trop ! Wulfgar, mon frère perdu, je te le jure : plus jamais les Drows ne toucheront à ceux que j'aime. Allons, il faut partir ! Le destin me guette, mais les combats à venir sont incontournables !
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in L'Éperon de Wiverne (FLEUVE NOIR / FLEUVE Éditions, 1995) Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere).