Quatrième de couverture
Membre de la société des Jacobin à douze ans, directeur de journal en Dalmatie sous l'empire, Charles Nodier ne fut pas seulement le bibliothécaire de l'Arsenal, l'hôte charmant, assisté d'une fille non moins charmante, autour duquel se réunit le premier Cénacle. Ouvert à tout ce qui est populaire et primitif, ainsi du lutin, de la sorcière et de la fée, il a étendu le champ de l'imaginaire romantique, exploré le monde des rêves, dit l'importance du cauchemar et des « phénomènes du sommeil » qui seuls rendent supportable la vie sociale et la vie tout court : qu'ils soient écossais ou illyriens, les contes de Nodier sont un hommage à la douceur consolante de la déraison.
Sommaire
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1 - Patrick BERTHIER, Préface, pages 7 à 17, préface2 - Smarra, ou Les démons de la nuit, pages 19 à 66, nouvelle3 - Trilby, ou Le Lutin d'Argail, pages 67 à 122, nouvelle4 - La Fée aux Miettes, pages 123 à 323, roman
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