Quatrième sur le rabat de la couverture
« La tour sombre c'est tout d'abord le rêve d'un jeune homme, pas tout à fait sorti de l'enfance, pas encore rentré dans le monde des adultes, et peut-être pas près d'y entrer. C'est l'histoire d'un fumeur invétéré, baladant une vieille machine à taper entre ses cours de fac et ses squats improvisés d'étudiant bohémien. C'est l'histoire d'un gamin qui, subissant le même choc que toute la génération Woodstock à la lecture des livres de Tolkien, se promit, lui aussi, de faire également un jour la même chose. Le temps passe, effaçant les rêves de gloire et d'écriture de tous les esprits sauf d'un : Stephen King... »
Science-fiction Magazine
Quatrième au dos du livre
Les retrouvailles du ka-tet de Dix-Neuf auront été de courte durée, car les pistoleros doivent à nouveau se séparer pour accomplir les deux tâches dont dépend le sort de la Tour Sombre : mettre fin à l'ignoble labeur des Briseurs détruisant les Rayons, et sauver l'écrivain Stephen King d'une mort programmée qui les condamnerait inéluctablement.
Et ce n'est là qu'un prélude à l'affrontement avec Mordred — monstre hybride enfanté par Mia/Susannah — , le dernier héritier de la lignée d'Eld, mais aussi du Roi Cramoisi... Lequel n'a pas dit son dernier mot.
Pour Roland de Gilead, la Tour est à ce prix... un prix qu'il devra payer de tout son être, pour la survie de tous les mondes.
Stephen King fait partie de ces écrivains qu'il n'est plus besoin de présenter. Carrie, Shining, Christine... autant de romans — et souvent de films — mondialement célèbres. Mais rien ne compte plus à ses yeux que le cycle de La Tour Sombre, son Grand Œuvre, une saga-fleuve monumentale dont il entama l'écriture alors qu'il était encore étudiant. Pour lui elle restera « La Jupiter du système solaire de mon imaginaire. »