"J'ai lu SIR NIGEL d'un seul trait, de la première à la dernière page ; et j'ai reposé le livre non rassasié : j'en aurait lu le double !" RUDYARD KIPLING
[rabat de couverture]
SIR NIGEL
Nous voici en pleine chevalerie. Conan Doyle nous transporte à l’époque où Édouard III Plantagenet, roi d’Angleterre, se pare du titre de roi de France et se lance dans une guerre qui sera la Guerre de Cent Ans; où les chevaliers font le vœu d’accomplir trois hauts faits avant de cueillir l’amour de leur dame; où rien ne paraît impossible à des cœurs vaillants et fidèles; où l’honneur et le courage étincellent du même éclat que les armures...
Époque héroïque, colorée, passionnante, riche en actions incroyables. Époque devant laquelle le lecteur de Conan Doyle, citoyen du XXe siècle, s’incline avec nostalgie et respect.
Nigel Loring est un noble ruiné, que sa grand-mère Dame Ermyntrude a élevé dans les plus pures traditions de la chevalerie. Son domaine est la proie des barons et des moines. Nigel jure de rétablir la fortune de son nom. D’où une série d’aventures qui se déroulent en France autant qu’en Angleterre, en mer aussi bien que sur terre, mais qui toutes tiennent le lecteur haletant.
Rudyard Kipling fut l’un des premiers admirateurs du livre. Il écrivit à Conan Doyle : « J’ai passé toute ma soirée d’hier à lire Sir Nigel d’un seul trait. J’ai tout lu, de la première à la dernière page', et j’ai reposé le livre, non rassasié : j’en aurais lu le double ! »
CONTES D’AUTREFOIS
Douze contes tirés de l’histoire romaine ou du premier millénaire de l’ère chrétienne, à l’exception du célèbre Miroir d’argent, où l’un de nos contemporains revit fort curieusement un drame de la Renaissance.
« Si toute mon œuvre, a déclaré en 1929 Sir Arthur Conan Doyle, devait un jour être détruite à l’exception de quelques pages que je pourrais préserver, mon choix pour cette survivance se porterait certainement sur ces récits historiques que j’ai rassemblés sous le titre de « Tales of long ago » (Contes d’Autrefois) ».
Le lecteur partagera certainement cette opinion.