Père du fameux Sherlock Holmes, Conan Doyle a tenté trente années durant de capter la voix des morts. Il y parvint enfin. Cette expérience bouleversante lui a inspiré quelques « histoires à faire peur » figurant peut-être parmi les plus percutantes de son oeuvre. L'extraordinaire, le fantastique, l'horrible sont à l'honneur, mais un dénouement optimiste vient presque toujours détendre l'atmosphère de violence et la tension extrême de chaque récit.
1 - Francis LACASSIN, Conan Doyle aux écoutes des morts, pages 5 à 30, préface 2 - La Hachette d'argent (The Silver Hatchet, 1883), pages 31 à 54, nouvelle, trad. Albert SAVINE 3 - L'Entonnoir de cuir (The Leather Funnel, 1902), pages 55 à 73, nouvelle, trad. Bernard TOURVILLE 4 - La Main brune (The Story of the Brown Hand, 1899), pages 74 à 93, nouvelle, trad. Pierre VIGNEAUX 5 - Le Lot N° 249 (Lot No. 249, 1892), pages 94 à 138, nouvelle, trad. Pierre VIGNEAUX 6 - Le Parasite (The Parasite, 1894), pages 139 à 215, nouvelle, trad. Michel GEORGES-MICHEL & Albert SAVINE 7 - Jouer avec le feu (Playing with Fire, 1900), pages 216 à 238, nouvelle, trad. Pierre VIGNEAUX 8 - La Nouvelle révélation (The New Revelation (Can we, or can we not, speak with our beloved dead?), 1917), pages 239 à 315, essai, trad. A. TOUGARD de BOISMILON