A la fin des Ages du Chaos, Ténébreuse a failli mourir. La sélection génétiques produisait des pouvoirs de plus en plus forts ; les enfants recevaient l'éducation rigoureuse des Tours ; et tout cela ne servait qu'à nourrir la guerre. Des villes furent rayées de la carte ; l'anarchie s'installa ; sur les ruines de l'unité s'édifièrent Cent royaumes acharnés à conquérir les uns les autres et incapable d'y parvenir.
Alors parut Varzil le Bon. Peut-être eut-il l'idée du Pacte ; en tout cas, il l'imposer dans les Royaumes survivants au bénéfice du roi Hastur. Les armes qui tuent à distance étaient interdites ; seules restaient autorisées les armes de poing ; la guerre se réduisit aux duels. La féodalité survécut — en faisant place aux Amazones libres.
La planète Ténébreuse ? C'est Marion Zimmer Bradley qui l'a découverte, au cours d'un voyage à l'interieur d'elle-même. Une terre d'humour et d'aventure, où elle a emmené des millions de lecteurs en visite. Et qu'elle a accepté de partager avec beaucoup de jeunes auteurs. Qui oserait encore dire que Ténébreuse est une planète peu peuplée ?
3 - Deborah WHEELER, Acurrhir todo, nada personad (Acurrhir Todo; Nada Perdonad: A Tale of the Hundred Kingdoms, 1990), pages 38 à 57, nouvelle, trad. Simone HILLING
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Les Cent royaumes (POCKET, 1997)
4 - Nina BOAL, Éclats de verre (Shards, 1994), pages 58 à 67, nouvelle, trad. Simone HILLING
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Les Cent royaumes (POCKET, 1997)