Site clair (Changer
 
    Fiche livre     Connexion adhérent
Solaris n° 219

REVUE

Première parution : Levis, Canada : Solaris n° 219, été 2021
Cycle : Revues - Solaris (Requiem)  vol. 219 


Illustration de Suzanne MOREL

SOLARIS (Lévis, Canada), coll. Solaris (revue) précédent dans la collection n° 219 suivant dans la collection
Date de parution : 15 juin 2021
Dépôt légal : juin 2021, Achevé d'imprimer : juin 2021
Première édition
Revue, 162 pages, catégorie / prix : 13,95 $CDN
ISBN : 978-2-924625-66-8
Format : 13,4 x 21,0 cm
Genre : Imaginaire

Numéro d'été.


Pas de texte sur la quatrième de couverture.
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Pascal RAUD, Présentation, pages 3 à 4, éditorial
2 - Josée BÉRUBÉ, Le Théorème des quatre douleurs, pages 7 à 27, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
3 - Hugues MORIN, Le Vieil Homme et le trou noir, pages 29 à 33, nouvelle, illustré par Julie MARTEL
4 - Martine BOURQUE, L'Offrande sur la pierre tombale, pages 34 à 35, nouvelle, illustré par Julie MARTEL
5 - Andréa RENAUD-SIMARD, Ulann, pages 37 à 45, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
6 - Dean WHITLOCK, La Femme, le pilote, le corbeau (The Woman, the Pilot, the Raven, 1991), pages 47 à 66, nouvelle, trad. Pierre Alexandre SICART, illustré par Bernard DUCHESNE
7 - Isabelle PIETTE, L'Archiviste, pages 67 à 77, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
8 - Jean Carlo LAVOIE, Le Passager éternel, pages 79 à 95, nouvelle, illustré par Bernard DUCHESNE
9 - Mario TESSIER, Les Carnets du Futurible : Le Mouvement perpétuel, en science et en fiction, pages 97 à 126, article, illustré par Suzanne MOREL
10 - COLLECTIF, Les Littéranautes, pages 127 à 134, critique(s)
11 - COLLECTIF, Lectures, pages 135 à 162, critique(s)
Critiques

    Bon, on va commencer par une vacherie bien sentie : jusqu’à la page 45, ma lecture n’a été que souffrance, exaspération et extrême fatigue (la traduction québécois → français peut être éprouvante). J’ai clairement lutté pour ne pas sauter direct à l’article de Mario Tessier sur le mouvement perpétuel en science-fiction. J’ai dû user du mantra absolu, parfois appelé la litanie du château de sable (mais plus personne ne sait pourquoi) : « Je suis un warrior et le warrior tue son ennemi. L’ennemi n’est qu’une petite chose promise à l’oblitération totale. J’affronterai l’ennemi. Je lui interdirai de passer derrière moi ou à travers de moi. Et lorsqu’il sera terrassé, je baisserai mon regard sur son destin. Et là où il sera terrassé, il n’y aura plus rien. Rien que mon œuvre. »

    Et puis, page 45, débute le texte « La Femme, le pilote, le corbeau », de Dean Whitlock, auteur étasunien dont je n’avais jamais entendu parler. Et là c’est comme si David Lynch jeune (avant la méditation et la résurrection traumatique de Twin peaks) avait décidé de se mettre au nature writing. Un homme part en randonnée jeter les cendres de son ancienne copine, morte du cancer. Tout commence normalement, et puis, à un moment, la virée en montagne part en sucette, mais à un point difficilement descriptible. J’ai a-do-ré. Je déclare qu’à ce stade, vous pouvez acheter la revue les yeux fermés. Et après, évidemment, il y a l’article de Mario Tessier, à savourer, comme d’habitude.

    Merci Solaris de m’avoir fait découvrir Dean Whitlock (belle traduction, au passage).

Thomas DAY (site web)
Première parution : 1/10/2021 dans Bifrost 104
Mise en ligne le : 15/1/2025

retour en haut de page

Dans la nooSFere : 87292 livres, 112201 photos de couvertures, 83728 quatrièmes.
10815 critiques, 47164 intervenant·e·s, 1982 photographies, 3915 adaptations.
 
NooSFere est une encyclopédie et une base de données bibliographique.
Nous ne sommes ni libraire ni éditeur, nous ne vendons pas de livres et ne publions pas de textes. Trouver une librairie !
A propos de l'association  -   Vie privée et cookies/RGPD