Quatrième de couverture
Kenniof s’approcha et les vit : les dormeurs. Pareils à des poissons, ils flottaient, immobiles et complètement nus, dans un liquide jaunâtre et huileux, chacun dans son alvéole ; les yeux fermés, le visage tourné tantôt vers le haut, tantôt vers le bas. Ils étaient innombrables. Les uns avaient les mains jointes, les autres avaient les doigts écartés, d’autres encore les avaient recroquevillés comme des griffes. Des mains d’ouvriers, de savants, d’hommes et de femmes.
Sommaire
Cacher les différentes éditions des textes
1 - William VOLTZ, Le Dormeur de la C.I.B. (Die Schläfer der Isc, 1963), pages 9 à 101, roman, trad. Ferdinand PIESEN2 autres éditions de ce texte dans nooSFere : - in La Déroute des Droufs (FLEUVE NOIR / FLEUVE Éditions, 1976)- in La Déroute des Droufs (FLEUVE NOIR / FLEUVE Éditions, 1996)Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere). 2 - Karl-Herbert SCHEER, Le Cas Colombus (Der Fall Kolumbus, 1963), pages 105 à 187, roman, trad. Ferdinand PIESEN2 autres éditions de ce texte dans nooSFere : - in La Déroute des Droufs (FLEUVE NOIR / FLEUVE Éditions, 1976)- in La Déroute des Droufs (FLEUVE NOIR / FLEUVE Éditions, 1996)Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere).
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