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La Planète de Pandore

Christopher ANVIL

Titre original : Pandora's Planet, 1972
Première parution : États-Unis, New York : Doubleday, 1972   ISFDB
Traduction de Daphné HALIN
Illustration de Patrice LARUE

OPTA (Paris, France), coll. Galaxie-bis précédent dans la collection n° 43/133 suivant dans la collection
Dépôt légal : 2ème trimestre 1975, Achevé d'imprimer : 5 juin 1975
Première édition
Roman, 256 pages, catégorie / prix : 10 F
ISBN : néant
Format : 11,0 x 18,0 cm
Genre : Science-Fiction


Quatrième de couverture
Après les barbares sanguinaires, les fanatiques politiques, les esclavagistes, les colonisateurs ; après les chrétiens, les musulmans, les disciples d'Odin, les républicains, les athées, les ploutocrates, les soldats casqués, les va-nu-pieds tricolores, les prêtres vengeurs ; après les hordes noires, rouges ou vertes ; après Tamerlan, Attila, César, Cortez, Hitler, Alexandre, les Starfighters, les mangeurs de chevaux, la transamazonienne, les tuniques blanches, après Custer et Ignace de Loyola, voici enfin, plus redoutables, plus cocasses, plus fantastiques que tous...
 
les envahisseurs crétins
Sommaire
Afficher les différentes éditions des textes
1 - Fritz LEIBER, La Lune est verte (The Moon is Green, 1952), pages 225 à 245, nouvelle, trad. Jacques PARSONS
2 - G. A. MORRIS, Les Carnivores (The Carnivore, 1953), pages 246 à 253, nouvelle, trad. P. R. PETITPIERRE
Critiques
 
     Aux temps héroïques de la SF, les envahisseurs galactiques étaient d'affreux monstres cruels, et les Terriens de purs et sages héros ; la réaction idéologique survenant, ces valeurs (comme dans le western) furent exactement inversées ; Anvil nous propose une troisième version : les envahisseurs de l'« Union Intégrale » sont des idéalistes naïfs et cons comme des balais, tandis que les Terriens sont irrésistibles sans le vouloir grâce à leurs défauts (bellicisme, cupidité) : exilés dans toutes les planètes habitables de la galaxie pour que la Terre ne demeure pas un foyer d'irréductibles, ils y exportent capitalisme, fascisme, communisme, anarchisme et d'autres ismes, balayant la stabilité séculaire de l'Union. Pas une satire, mais simplement une grosse farce où l'influence de Jack Vance est sensible, et où l'on sourit souvent. Un seul reproche : 220 pages, c'est trop long pour une idée qui eût gagné à être exploitée en 40 ou 50.

Jean-Pierre ANDREVON (lui écrire) (site web)
Première parution : 1/5/1976 dans Fiction 269
Mise en ligne le : 1/1/2014

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