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Ikigami : Préavis de Mort - Tome 7
Série : Ikigami : Préavis de Mort    Album précédent tome 7  Album suivant

Scénario : Motorô MASE
Dessins : Motorô MASE
Traduction : Josselin MONEYRON

Kazé Mangas , coll. Seinen, juin 2010
 
Broché avec jaquette
Format 182 x 127
240  pages  N&B
ISBN 978-2-84965-860-4
 
Quatrième de couverture
     Quand les services sociaux envoient une inspectrice évaluer le travail de Fujimoto, le jeune fonctionnaire sent soudain sur ses épaules le poids de la suspicion étatique. Difficile alors pour lui d'être d'un quelconque secours aux deux jeunes hommes qui reçoivent cette fois l'Ikigami.
     Pour accepter leur destin amputé, ils vont devoir trouver la paix dans leur passion, face au regard des autres et malgré le temps qui passe trop vite...

     Que feriez-vous de vos dernières vingt-quatre heures ?

     UN THRILLER D'ANTICIPATION SOCIALE TERRIFIANT DE RÉALISME.
 
Critiques
     Ce septième tome d'Ikigami confirme la tendance : les sketches se font de moins en moins intéressants (ici : les destins d'un jeune photographe et d'un danseur de hip-hop) pendant que l'intrigue liée à Fujimoto, le bureaucrate chargé de délivrer le préavis de mort, devient de plus en plus captivante. Après avoir dénoncé sa collègue, coupable d'avoir remis en cause le système, le voilà confronté à une autre femme dont la mission consiste à examiner la motivation et l'intégrité des agents au service de l'État. Ambiance KGB au programme, donc.
 
     Il est intéressant de noter que, dans Ikigami, la remise en question du personnage principal est toujours liée à l'intervention d'une femme, dans un rôle positif ou négatif (on peut aussi remarquer qu'il s'agit de l'un des rares mangas où les Japonais ressemblent à des Japonais, et non à des occidentaux, mais c'est un autre sujet). Le travail scénaristique sur les doutes de Fujimoto est très subtil, et l'intrigue a tout à gagner en misant sur son cheminement intérieur, mais il est regrettable que les sketches (qui mettent en scène, rappelons-le, les dernières vingt-quatre heures des condamnés) n'aient jamais retrouvé la force du premier d'entre eux.

Florent M.          
22/07/2010          


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