1 - Xavier DOLLO, Thomas, Momo et le radeau, pages 7 à 17, nouvelle 2 - Brice TARVEL, Bouches à nourir, pages 18 à 28, nouvelle 3 - Christian COGNÉ, Demiourgos, pages 29 à 52, nouvelle 4 - Elia BARCELO, La Trame, pages 53 à 57, nouvelle, trad. Jacques FUENTEALBA 5 - Jacques FUENTEALBA, Rise and fall of Bianca Nera, pages 58 à 80, nouvelle 6 - Jonas LENN, Au jardin de mon père, pages 81 à 108, nouvelle 7 - Florent DESCHERY & Cécile GIROLAMI & Loïc LAVEISSIERE & Agnès LEROY, Entretien avec Jérôme Noirez, pages 110 à 113, entretien avec Jérôme NOIREZ 8 - (non mentionné), Bibliographie de Jérôme Noirez, pages 114 à 115, bibliographie 9 - (non mentionné), Musicographie de Jérôme Noirez, pages 115 à 116, bibliographie 10 - Jérôme NOIREZ, Les Attracteurs puérils, pages 117 à 126, nouvelle 11 - Jérôme NOIREZ, La Recette de Jérôme : Pastilla façon "Grenotte", pages 127 à 127, chronique 12 - Nathalie VAURY, Entretien avec Aurélien Police, pages 128 à 131, entretien avec Aurélien POLICE 13 - Santiago EXIMENO, En différé de l'Hispacon 2006, pages 132 à 133, article, trad. Jacques FUENTEALBA 14 - Michel VAN, ...et en Allemagne, pages 134 à 135, article 15 - Selene VERRI, Les Fascistes sur Mars, pages 136 à 137, chronique, trad. Jean-Pierre FONTANA 16 - Selene VERRI, Italcon 2007, pages 138 à 141, chronique, trad. Jean-Pierre FONTANA 17 - Rémi MAURE, Les Oubliés de l'imaginaire, pages 142 à 145, article 18 - Pierre GÉVART, Lunatique blues, pages 146 à 149, chronique 19 - COLLECTIF, Notes de lecture, pages 150 à 151, critique(s) 20 - COLLECTIF, Le Banc des cinés, pages 152 à 153, critique(s) 21 - (non mentionné), Michel Bassot, pages 154 à 155, bibliographie
Critiques
Difficile de considérer Lunatique comme une revue, tant le travail éditorial manque sur ce septième opus de la nouvelle série. Les nouvelles sont médiocres, ennuyeuses (ou prometteuses mais ratées, comme celle de Christian Cogné) et la meilleure du lot — « Les attracteurs puérils » de Jérôme Noirez — , bien que sympathique, est loin d'être le chef d'œuvre de son auteur. Quant à la couverture et au paratexte, il ont été visiblement confiés à une équipe d'égoutiers maniaco-dépressifs qui se sont essayés aux disciplines artistiques pendant leurs pauses plutôt que de taper le carton en sirotant de la kro. À emprunter... pour le texte de Noirez.