« Relu Hérodias. A partir des hurlements de Iokanaan l'inspiration grandit, énorme, accablante. Le début lent et laborieux trahit l'effort et la grosse fatigue qui se communique au lecteur, las, mais fasciné. Mais le grand Flaubert se retrouve dans l'excès de son imagination, dans la frénésie de la couleur et du fracas des voyelles, dans la musique tonitruante. Splendeur, splendeur... »