De l'horreur à l'état brut, de l'épouvante à dose massive. Dans les sept nouvelles regroupées dans ce volume, tout concourt en effet à repousser au plus loin les limites du supportable, jusqu'au paroxysme — Et pourtant rien ici n'est gratuit — même lorsque, par exemple, les morts et les vivants se donnent de stupéfiants rendez-vous dans un cimetière ou lorsqu'une tête arrachée d'un corps, continue de penser et de vivre... De l'horreur, de l'épouvante. L'art de Karl Hans Strobl est d'en exprimer les charmes délétères...
1 - Jean-Baptiste BARONIAN, Avant-propos, pages 7 à 8, introduction 2 - Mon séjour au Père Lachaise (Das Grabmal auf dem Père Lachaise, 1914), pages 9 à 50, nouvelle, trad. Hugo RICHTER 3 - Mon aventure avec Jonas Trom (Mein Abenteuer mit Jonas Barg, 1907), pages 51 à 80, nouvelle, trad. Hugo RICHTER 4 - Danse macabre (Geberden da gibt es vertrackte, 1917), pages 81 à 106, nouvelle, trad. Hugo RICHTER 5 - La Tête (Der Kopf, 1901), pages 107 à 120, nouvelle, trad. Hugo RICHTER 6 - Laërtes (Laertes, 1907), pages 121 à 138, nouvelle, trad. Hugo RICHTER 7 - Le Petit homme qui faisait des saignées (Das Aderlaßmännchen, 1907), pages 139 à 166, nouvelle, trad. Hugo RICHTER 8 - Le Triomphe de la mécanique (Der Triumph der Mechanik, 1907), pages 167 à 184, nouvelle, trad. Hugo RICHTER