De l'horreur à l'état brut, de l'épouvante à dose massive. Dans les sept nouvelles regroupées dans ce volume, tout concourt en effet à repousser au plus loin les limites du supportable, jusqu'au paroxysme — Et pourtant rien ici n'est gratuit — même lorsque, par exemple, les morts et les vivants se donnent de stupéfiants rendez-vous dans un cimetière ou lorsqu'une tête arrachée d'un corps, continue de penser et de vivre... De l'horreur, de l'épouvante. L'art de Karl Hans Strobl est d'en exprimer les charmes délétères...
6 - Laërtes (Laertes, 1907), pages 121 à 138, nouvelle, trad. Hugo RICHTER
Inédit.
7 - Le Petit homme qui faisait des saignées (Das Aderlaßmännchen, 1907), pages 139 à 166, nouvelle, trad. Hugo RICHTER
3 autres éditions de ce texte dans nooSFere : - in SF et fantastique allemands (RECTO VERSO, 1975) sous le titre La Saignée au couvent - in Fiction n° 299 (OPTA, 1979) sous le titre La Saignée au couvent - in SF et fantastique allemands (RECTO VERSO, 1986) sous le titre La Saignée au couvent
8 - Le Triomphe de la mécanique (Der Triumph der Mechanik, 1907), pages 167 à 184, nouvelle, trad. Hugo RICHTER