Il a suffi d'un livre, Le Désert des Tartares, pour mettre Buzzati au rang des plus grands écrivains. Dans les contes qui composent L'écroulement de la Baliverna, la même magie opère. On est pris sous un charme étrange, à la limite du plaisir et de l'angoisse. « Chacune de ces histoires est un saut périlleux, par-dessus le vide, ou l'escalade d'une face lisse, à pic et sans prises », écrit Marcel Brion, de l'Académie française.
2 - Le Chien qui a vu Dieu (Il cane che ha visto Dio, 1954), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in L'Italie fantastique de Boccacio à Landolfi (MARABOUT - GÉRARD, 1975) Première parution en 1960 (non référencée dans nooSFere).
3 - Jusqu'à la dernière goutte de sang (Fino all'ultima goccia di sangue), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
Inédit.
4 - Garage Erebus (Autorimessa Erebus), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
Inédit.
5 - Il était arrivé quelque chose (Qualcosa era successo, 1954), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
26 - Les Cinq Frères (I cinque fratelli), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
Inédit.
27 - Le Musicien envieux (Il musicista invidioso), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
Inédit.
28 - La Machine (La macchina), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Les Chefs-d'œuvre du Fantastique (PLANÈTE, 1967) Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere).
29 - Nuit d'hiver à Philadelphie (Notte d'inverno a Filadelfia), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
Inédit.
30 - L'Avalanche (La frana), nouvelle, trad. Michel BREITMAN
Inédit.
31 - Ils n'attendaient rien d'autre (Non aspettavano altro, 1954), nouvelle, trad. Michel BREITMAN