[texte de rabat de la première de couverture]
« La Tour Sombre, c'est tout d'abord le rêve d'un jeune homme, pas tout à fait sorti de l'enfance, pas encore rentré dans le monde des adultes, et peut-être pas près d'y rentrer. C'est l'histoire d'un fumeur invétéré, baladant une vieille machine à taper entre ses cours de fac et ses squats improvisés d'étudiant bohémien. C'est l'histoire d'un gamin qui, subissant le même choc que toute la génération Woodstock à la lecture des livres de Tolkien, se promit, lui aussi, de faire également un jour la même chose. Le temps passe, effaçant les rêves de gloire et d'écriture de tous les esprits sauf d'un : Stephen King... »
Science-Fiction Magazine
[texte de rabat de la quatrième de couverture]
Stephen King fait partie de ces écrivains qu'il n'est plus besoin de présenter. Carrie, Shining, Christine... autant de romans — et souvent — de films mondialement célèbres. Mais rien ne compte plus à ses yeux que le cycle de La Tour Sombre, son Grand Œuvre, une saga-fleuve monumentale dont il entama l'écriture alors qu'il était encore étudiant. Pour lui elle restera « La Jupiter du système solaire de mon imaginaire. »
[texte de quatrième de couverture]
Le Pistolero, c'est Roland de Gilead, dernier justicier et aventurier d'un monde dont il cherche à inverser la destruction programmée. Pour cela, il doit arracher au sorcier vêtu de noir, qu'il poursuit depuis vingt ans, les secrets qui le mèneront vers la Tour Sombre, à la croisée de tous les temps, lieu de rencontre de notre univers et d'autres mondes...
Roland surmontera-t-il les pièges diaboliques de cette créature ? A-t-il conscience que son destin est inscrit dans trois cartes d'un jeu de tarot bien particulier ?
Le Pistolero devra faire le pari de le décrouvir, et d'affronter la folie et la mort. Car il sait depuis le conmmencement que les voies de la Tour Sombre sont impénétrables...