En Jack London se rencontrèrent et fraternisèrent deux idéologies contraires ; la doctrine darwiniste de la survivance du plus apte dans la lutte pour la vie et l'amour infini de l'humanité.
On a dit qu'il était le fils illégitime d'un astrologue ambulant, signe prophétique de son destin vagabond. Son école, ce furent les bas-quartiers de San Francisco, surnommés la « côte de Barbarie », qui méritèrent leur mauvaise réputation en raison de leur pègre dangereuse.
Il mourut, à 40 ans, après avoir épuisé jusqu'à la lie la vie de son corps et celle de son esprit. Aucune des deux ne le satisfit entièrement et il chercha dans la mort la sombre splendeur du néant.
4 - La Loi de la vie (The Law of Life, 1901), pages 69 à 81, nouvelle, trad. (non mentionné)
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Les Morts concentriques (RETZ - RICCI, 1978) Première parution en 1932 (non référencée dans nooSFere).
5 - La Face perdue (Lost Face, 1908), pages 83 à 107, nouvelle, trad. (non mentionné)
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Les Morts concentriques (RETZ - RICCI, 1978) Première parution en 1925 (non référencée dans nooSFere).
6 - La Maison de Mapouhi (The House of Mapuhi, 1909), pages 109 à 146, nouvelle, trad. (non mentionné)
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Les Morts concentriques (RETZ - RICCI, 1978) Première parution en 1928 (non référencée dans nooSFere).