Quatrième de couverture
« Il est probable que tout soit lié. Si cela est vrai, notre expédition a bel et bien un rôle à jouer dans le destin du monde. »
À l’intérieur de l’Arche, véritable arbre-monde, les tribus se font la guerre pour capturer la plus précieuse des ressources : la sève. Piérig est un sourcier. Il sait reconnaître et utiliser les différentes formes que prend la sève. Mais voilà que, depuis quelque temps, les feuilles délivrent toutes le même message, un appel à l’aide : l’arbre est malade et les zones mortes gagnent du terrain. La vie de Piérig bascule le jour où il tombe dans une embuscade montée par un village voisin. Son ami Masir est tué. Ses ennemis le gardent toutefois en vie car ils ont besoin de lui ; eux aussi veulent comprendre le message des feuilles et découvrir les causes de la dégénérescence du monde. Ils préparent une expédition. En compagnie de Juse, le joueur de flûte, d’Aksêl le colosse et de la belle mais fanatique Reva, Piérig devra faire un choix : accomplir sa vengeance ou sauver l’arbre-monde.
Critiques des autres éditions ou de la série Edition DENOËL, Présence du futur () L’arbre-monde est un véritable monde, sur lequel vivent des humains dont il constitue tout l’univers. Piérig est un sourcier, il sait reconnaître et utiliser les différentes formes que prend la sève de l’arbre-monde. Mais l’arbre est malade, les zones mortes s’étendent de plus en plus et Piérig, capturé par les habitants d’un autre village, est emmené en expédition afin de découvrir les causes de la dégénérescence du monde.
Comme d’habitude avec Laurent Genefort, Les chasseurs de sève montre un monde particulièrement étonnant et riche. Mais ici, tout semble un peu vain, l’intrigue est minimale et paraît servir uniquement de prétexte pour parcourir cet arbre-monde et détailler toutes ses bizarreries.
Les personnages n’attirent pas la sympathie, que ce soit Piérig le sourcier, qui ne pense qu’à lui, ou bien ses compagnons de voyage, particulièrement intransigeants dans leur quête.
Dans la description d’une jungle hostile, l’auteur a fait bien mieux avec Le sang des immortels, par exemple. Frédéric BEURG (lui écrire) nooSFere
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