Quatrième de couverture
Le biologiste montra le corps d'Ellert :
— Il est mort, mais il bouge. Des paroles incompréhensibles sortent de ses Ièvres ; des lèvres bleues, figées, mortes ! Je ne comprends pas, commandant...
Sommaire
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1 - Clark DARLTON, Première partie (Ein Toter soll nicht sterben, 1964), pages 7 à 107, roman, trad. Marie-Jo DUBOURG2 - Kurt MAHR, Deuxième partie (Station der Unsichtbaren, 1964), pages 109 à 220, roman, trad. Marie-Jo DUBOURG
Critiques
Voici longtemps qu'en ces pages on ne parle plus de la gigantesque saga rhodanienne, évidemment parce qu'elle traîne son cours au long des années. Guettez le moment où il ne sera plus question de G.J. Arnaud en raison de son abondance... Pourquoi ne pas revenir de temps à autre sur des sujets qui sont loin d'être épuisés ? Les auteurs de Perry Rhodan font un louable effort de renouvellement tout en restant dans leur ligne de conduite. Ceux qui ont eu le plaisir de parcourir les différents volumes de la série ont remarqué qu'elle se divisait en cycles autonomes : la Quête de l'Immortel, l'Empire solaire, les Invisibles, et maintenant la lutte contre ces machines démentes et énormes lâchées dans l'espace afin de tuer toute vie organique. Cela vous rappelle quelque chose ? Saberhagen peut-être et ses berserkers (réédités il y a peu par Temps Futurs), mais l'équipe allemande a su insuffler une vie différente à ce thème en utilisant une constante rhodanienne : la tolérance et le dialogue avec les autres races plutôt que le combat à outrance. Le plaisir à la lecture est évident, pourquoi s'en priver ? Jean-Pierre VERNAY Première parution : 1/11/1983 dans Fiction 345 Mise en ligne le : 2/1/2006
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