Un peu XXe siècle, je n'ai pas et n'aurai sans doute jamais le réflexe quotidien de me chercher en ligne. Ce sont donc des amis plus modernes (ou post-modernes) qui m'ont signalé la présence en ligne de quelques articles issus d'entrevues que j'avais données à des journaux à propos de mon roman Reine de Mémoire, au moment de sa sortie (qui devrait plus adéquatement s'appeler "son entrée") et au moment de sa finale (là, ce serait "la sortie"...). Puisque les excellentes analyses de Rita Painchaud, pour la revue Solaris, ne sont pas, elles, en ligne, pourquoi ne pas diriger par là les curiosités qu'on m'a si gentiment manifestées ? me suis-je dit. Dont (tout petit) acte.
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