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Le Pays où l'on n'arrive jamais

André DHÔTEL

Première parution : Paris, France : Pierre Horay, 1955


LIBRIO (Paris, France), coll. Littérature contemporaine précédent dans la collection n° 276 suivant dans la collection
Dépôt légal : mars 1999
Réédition
Roman, catégorie / prix : 10 FF
ISBN : 2-277-30276-7
Genre : Fantasy


Quatrième de couverture
     Gaspard, fils de forains, est élevé par sa tante qui désire lui éviter la vie désordonnée des nomades. Mais un sort malicieux suscite sans cesse autour de ce garçon des aventures bizarres... Par hasard, il rencontre un enfant fugitif qui a décidé de retrouver « maman Jenny » et le pays de son enfance. Et Gaspard, malgré lui, se trouve entraîné, par une suite de péripéties merveilleuses, à suivre ce nouveau camarade. Grâce à leur étrange compagnon, un cheval aux intuitions fulgurantes, la ténacité des enfants est enfin récompensée : sur une fête foraine, leur apparaît soudain la boutique de « maman Jenny »... Les rêves de l'enfance ont rejoint la réalité et vaincu les préjugés d'un monde qui n'était pas le leur...

Critiques des autres éditions ou de la série
Edition Pierre HORAY, (1956)

    Le dernier prix Fémina est allé à André Dhôtel pour « Le pays où l’on n’arrive jamais » (Pierre Horay). Un gentil roman, qui tient à la fois du conte de fées, du « Grand Meaulnes », de « Sans famille » d’Hector Malot, et des livres de la collection scoute « Signe de Piste ». Les dames du Fémina ont pris soin de préciser que le prix était attribué à l’auteur « pour l’ensemble de son œuvre ». Celle-ci le méritait. C’est donc fort bien. Il n’en reste pas moins que, pour la plupart des lecteurs, c’est ce roman-ci qui est mis sur un piédestal – et qu’il n’a pas l’envergure du rôle. Il est vrai que, faisant suite à « La machine humaine » de Véraldi, n’importe quel Fémina paraîtrait génialement choisi.

    Ce roman plus ou moins merveilleux sonne un peu faux, paraît un peu trop fabriqué. L’auteur se force à vouloir être naturel. Comme un vieil enfant qui s’évertue à retrouver le langage de l’enfance. Mais la fraîcheur n’y est pas.

    Le thème est joli, les péripéties inégalement heureuses, la narration facile, le style agréable. L’ensemble s’avère charmant et anodin. On a perdu son temps, mais on l’a perdu en bonne compagnie.

Alain DORÉMIEUX
Première parution : 1/2/1956
Fiction 27
Mise en ligne le : 20/4/2025

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