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Le Pays où l'on n'arrive jamais

André DHÔTEL

Première parution : Paris, France : Pierre Horay, 1955

Illustration de Jean RESCHOFSKY

HACHETTE Jeunesse (Paris, France), coll. Bibliothèque verte (1974-1983) précédent dans la collection n° (371) suivant dans la collection
Dépôt légal : 1er trimestre 1979
Retirage
Roman, 254 pages, catégorie / prix : nd
ISBN : 2-01-332207-0
Format : 12,3 x 17,0 cm
Genre : Fantasy


Quatrième de couverture
     Un bel enfant aux boucles blondes arrive dans un village des Ardennes, entouré de forêts.
     On l'arrête, on l'enferme. Prévenus, les siens vont venir le chercher le lendemain.
     Mais déjà tout est mystère : d'un petit paysan du village qui a simplement croisé son regard, l'enfant s'est fait un ami.
     Au petit jour, l'enfant s'évade. Mais il est repris, et le petit paysan, qui ne peut supporter d'être séparé de son ami, s'élance à sa poursuite.
     Un merveilleux cheval pie, apparaissant et disparaissant au gré de sa fantaisie, lui viendra en aide et tous deux traverseront des régions inconnues à la recherche du pays où l'on n'arrive jamais...
Critiques des autres éditions ou de la série
Edition Pierre HORAY, (1956)

    Le dernier prix Fémina est allé à André Dhôtel pour « Le pays où l’on n’arrive jamais » (Pierre Horay). Un gentil roman, qui tient à la fois du conte de fées, du « Grand Meaulnes », de « Sans famille » d’Hector Malot, et des livres de la collection scoute « Signe de Piste ». Les dames du Fémina ont pris soin de préciser que le prix était attribué à l’auteur « pour l’ensemble de son œuvre ». Celle-ci le méritait. C’est donc fort bien. Il n’en reste pas moins que, pour la plupart des lecteurs, c’est ce roman-ci qui est mis sur un piédestal – et qu’il n’a pas l’envergure du rôle. Il est vrai que, faisant suite à « La machine humaine » de Véraldi, n’importe quel Fémina paraîtrait génialement choisi.

    Ce roman plus ou moins merveilleux sonne un peu faux, paraît un peu trop fabriqué. L’auteur se force à vouloir être naturel. Comme un vieil enfant qui s’évertue à retrouver le langage de l’enfance. Mais la fraîcheur n’y est pas.

    Le thème est joli, les péripéties inégalement heureuses, la narration facile, le style agréable. L’ensemble s’avère charmant et anodin. On a perdu son temps, mais on l’a perdu en bonne compagnie.

Alain DORÉMIEUX
Première parution : 1/2/1956
Fiction 27
Mise en ligne le : 20/4/2025

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