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Le Pays où l'on n'arrive jamais

André DHÔTEL

Première parution : Paris, France : Pierre Horay, 1955


J'AI LU (Paris, France), coll. Littérature générale précédent dans la collection n° 61 suivant dans la collection
Dépôt légal : septembre 1999
Réédition
Roman, catégorie / prix : E
ISBN : 2-290-20061-1
Genre : Fantasy


Quatrième de couverture
     « Il y a dans le même pays plusieurs mondes véritablement. Dans les contrées situées au nord, jusqu'au Rhin ou jusqu'au port d'Anvers, ce sont des centaines de collines et de plaines chargées de richesses, et l'on peut voir aussi les eaux immenses des canaux, des fleuves, des bras de mer, tandis qu'au cœur des villes, sur des places, souvent désertes, s'élèvent les beffrois qui inspirent autant de terreur que d'admiration. »

     La vie routinière et sage de Lominval, petit village des Ardennes, aurait dû mettre Gaspard, fils de forain, à l'écart de toute vie aventureuse. Mais un regard échangé avec un enfant fugitif qui a décidé de retrouver « Maman Jenny » et le pays de son enfance, va l'entraîner, malgré lui, dans une cascade d'aventures surprenantes et merveilleuses.

     André Dhôtel
     André Dhôtel est né en 1900 à Attigny, dans les Ardennes, où il situa plusieurs de ses romans. Il a publié une cinquantaine d'ouvrages et a obtenu le prix Femina en 1955 pour Le pays où l'on arrive jamais.
Critiques des autres éditions ou de la série
Edition Pierre HORAY, (1956)

    Le dernier prix Fémina est allé à André Dhôtel pour « Le pays où l’on n’arrive jamais » (Pierre Horay). Un gentil roman, qui tient à la fois du conte de fées, du « Grand Meaulnes », de « Sans famille » d’Hector Malot, et des livres de la collection scoute « Signe de Piste ». Les dames du Fémina ont pris soin de préciser que le prix était attribué à l’auteur « pour l’ensemble de son œuvre ». Celle-ci le méritait. C’est donc fort bien. Il n’en reste pas moins que, pour la plupart des lecteurs, c’est ce roman-ci qui est mis sur un piédestal – et qu’il n’a pas l’envergure du rôle. Il est vrai que, faisant suite à « La machine humaine » de Véraldi, n’importe quel Fémina paraîtrait génialement choisi.

    Ce roman plus ou moins merveilleux sonne un peu faux, paraît un peu trop fabriqué. L’auteur se force à vouloir être naturel. Comme un vieil enfant qui s’évertue à retrouver le langage de l’enfance. Mais la fraîcheur n’y est pas.

    Le thème est joli, les péripéties inégalement heureuses, la narration facile, le style agréable. L’ensemble s’avère charmant et anodin. On a perdu son temps, mais on l’a perdu en bonne compagnie.

Alain DORÉMIEUX
Première parution : 1/2/1956
Fiction 27
Mise en ligne le : 20/4/2025

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