À la fin de sa vie, George Sand (1804-1876) écrivit de ravissants contes pour ses petites filles, Aurore et Gabrielle, auxquelles elle était très attachée.
On trouve, dans ces petites histoires à la fois féériques et tendres, la fraîcheur et l'authenticité, le talent intact et chaleureux de la grande romancière. Son énergie inaltérable la faisait se passionner pour l'éducation et le développement de ses petites filles, auxquelles elle préparait des confitures et fabriquait des poupées.
« Quand j'étais enfant, ma chère Aurore, j'étais très tourmentée de ne pouvoir saisir ce que les fleurs se disaient entre elles. Mon professeur de botanique m'assurait qu'elles ne disaient rien ; soit qu'il fût sourd, soit qu'il ne voulût pas me dire la vérité, il jurait qu'elles ne disaient rien du tout.
2 - Le Chien et la fleur sacrée, pages 46 à 61, nouvelle
2 autres éditions de ce texte dans nooSFere : - in Voyage dans le cristal (UGE (Union Générale d'Éditions) - 10/18, 1980) - in Nouvelles féériques (FANTASK, 2022) Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere).
3 - La Fleur sacrée, pages 62 à 97, nouvelle
Inédit. Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere).
5 - Ce que disent les fleurs, pages 123 à 134, nouvelle
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Si les fées m'étaient contées... (OMNIBUS, 2003) Première parution en 1876 (non référencée dans nooSFere).
6 - Le Marteau rouge, pages 135 à 147, extrait de nouvelle
1 autre édition de ce texte dans nooSFere : - in Laura Voyage dans le cristal (POCKET, 2004) Première parution en 0 (non référencée dans nooSFere).
7 - La Fée Poussière, pages 148 à 162, extrait de nouvelle