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Le Pays où l'on n'arrive jamais

André DHÔTEL

Première parution : Paris, France : Pierre Horay, 1955

Illustration de Pierre-Marie VALAT
Illustrations intérieures de Norbert BOUSSOT

GALLIMARD Jeunesse (Paris, France), coll. Folio junior précédent dans la collection n° 253 suivant dans la collection
Dépôt légal : avril 1983, Achevé d'imprimer : 21 avril 1983
Réédition
Roman, 240 pages, catégorie / prix : 4
ISBN : 2-07-033253-5
Format : 11,0 x 18,0 cm
Genre : Fantasy


Quatrième de couverture

Pauvre Gaspard ! Il se trouve toujours là quand tout va de travers. Sa tante, Mademoiselle Berlicaut qui l'élève, le sait bien, elle qui tient soignesement caché tous les petits drames domestiques qui parsèment l'enfance de Gaspard à traverser les pires dangers sans conséquence et comme avec indifférence est bientôt connue du petit bourg de Lominval. Très vite, la méfiance des villageois s'éveille...
Un jour, un enfant aux « yeux coupants comme l'acier et purs comme la Meuse » est arrêté pour vagabondage. Alors commence la vraie vie de Gaspard...

Critiques des autres éditions ou de la série
Edition Pierre HORAY, (1956)

    Le dernier prix Fémina est allé à André Dhôtel pour « Le pays où l’on n’arrive jamais » (Pierre Horay). Un gentil roman, qui tient à la fois du conte de fées, du « Grand Meaulnes », de « Sans famille » d’Hector Malot, et des livres de la collection scoute « Signe de Piste ». Les dames du Fémina ont pris soin de préciser que le prix était attribué à l’auteur « pour l’ensemble de son œuvre ». Celle-ci le méritait. C’est donc fort bien. Il n’en reste pas moins que, pour la plupart des lecteurs, c’est ce roman-ci qui est mis sur un piédestal – et qu’il n’a pas l’envergure du rôle. Il est vrai que, faisant suite à « La machine humaine » de Véraldi, n’importe quel Fémina paraîtrait génialement choisi.

    Ce roman plus ou moins merveilleux sonne un peu faux, paraît un peu trop fabriqué. L’auteur se force à vouloir être naturel. Comme un vieil enfant qui s’évertue à retrouver le langage de l’enfance. Mais la fraîcheur n’y est pas.

    Le thème est joli, les péripéties inégalement heureuses, la narration facile, le style agréable. L’ensemble s’avère charmant et anodin. On a perdu son temps, mais on l’a perdu en bonne compagnie.

Alain DORÉMIEUX
Première parution : 1/2/1956
Fiction 27
Mise en ligne le : 20/4/2025

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