En Angleterre dans les milieux de la boxe à l'époque où l'on combattait à poings nus... CONAN DOYLE écrivain sportif !
[rabat de couverture]
HISTOIRES DU RING
Conan Doyle fervent du « noble art », Conan Doyle chez les boxeurs, Conan Doyle écrivain sportif... Rodney Stone va révéler au public français un nouvel aspect du talent si divers du créateur de Sherlock Holmes.
Tout au début du xixe siècle, alors que la France et l’Angleterre sont en guerre et que Napoléon rassemble son armée au camp de Boulogne, un crime mystérieux est découvert dans une maison de campagne. Un jeune pair d’Angleterre, que tout semble accuser, disparaît. Pour élucider l’énigme policière, Conan Doyle nous entraîne dans le monde des dandys et des boxeurs de l’époque. Autour du jeune et sympathique champion Jim Harrison, du roi des dandys Sir Charles Tregellis, du mauvais sportif Sir Lothian Hume, d’illustres personnages défilent dans cette magistrale évocation de l’Angleterre de 1804 : Nelson, le futur Régent, Brummel, Sheridan, Fox, sans oublier tous ceux qui connurent la gloire sur le ring, lorsque les combats se livraient à poings nus et pouvaient durer trente, quarante, cinquante rounds (jusqu’à ce que l’un des deux adversaires fût incapable de se relever), lorsque le pari mutuel se déchaînait autour d’un ring comme sur les hippodromes, lorsque le sport commençait à se frelater au contact de l’argent.
Autres récits sportifs : les cinq Contes du Ring, où l’humour le dispute au fantastique.
Les neuf Contes de Médecins enfin nous rappellent qu’avant d’opter pour l’art littéraire, Conan Doyle avait été disciple d’Esculape.
4 - Le Seigneur de Falconbridge (The Lord of Falconbridge (sub-titled: A Legend of the Ring), 1909), pages 363 à 392, nouvelle, trad. Bernard TOURVILLE