Ray Bradbury : le Marcel Aymé de la Science-Fiction.
CHRISTIAN MILLAU (Paris-Presse)
II a donné à la « Science-Fiction », variété contemporaine du roman fantastique, ses lettres de noblesse et quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre parmi lesquels « Les Chroniques Martiennes ».
JEAN BLANZAT (Figaro Littéraire)
Le plus significatif des auteurs de Science-Fiction est sans nul doute l'américain Ray Bradbury qui fut le premier à révéler la poésie contenue dans cette source d'inspiration.
(L'Express)
Le volume de Ray Bradbury « Les Pommes d'Or du Soleil » fait suite à ces remarquables ouvrages que sont : « Chroniques Martiennes », « L'homme illustré », « Fahrenheit 451 ». II permet de juger de nouveau cet auteur qui, pourrait-on dire, est parmi les trois plus grands écrivains américains d'aujourd'hui.
(Combat)
« Chroniques Martiennes », « L'Homme illustré » des livres intelligents, féroces, d'une poésie bizarre, d'une violence satirique parfois admirable.
CLAUDE ROY (Libération)
Un tel magicien de l'inattendu... Un analyste sévère des mœurs du siècle.
LUCIEN GUISSARD (La Croix)
Bradbury pulvérise avec une extraordinaire bonne santé notre éternel petit confort intellectuel.
HENRI-FRANÇOIS REY (France Observateur)
En Bradbury la Science-Fiction a rencontré son poète.
1 - Un remède à la mélancolie (A Medecine for Melancholy, 1959), pages 9 à 22, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 2 - Par un beau jour d'été (In a Season of Calm Weather, 1957), pages 23 à 30, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 3 - Le Dragon (The Dragon, 1955), pages 31 à 35, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 4 - La Fin du commencement (The End of the Beginning, 1956), pages 36 à 43, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 5 - Le Splendide costume glace à la vanille (The Wonderful Ice Cream Suit / The Magic White Suit, 1958), pages 44 à 76, théâtre, trad. Jacqueline HARDY 6 - Le Rêve de fièvre (Fever Dream, 1948), pages 77 à 86, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 7 - Le Raccommodeur de ménages (The Marriage Mender, 1954), pages 87 à 93, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 8 - La Ville où personne n'est descendu (The Town Where No One Got Off, 1958), pages 94 à 105, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 9 - L'Odeur de la salsepareille (A Scent of Sarsaparilla, 1953), pages 106 à 115, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 10 - Icare Montgolfier Wright (Icarus Montgolfier Wright, 1956), pages 116 à 122, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 11 - Le Casque (The Headpiece, 1958), pages 123 à 133, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 12 - Ils avaient la peau brune et les yeux dorés (Dark They Were, and Golden-Eyed, 1949), pages 134 à 155, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 13 - Le Sourire (The Smile, 1952), pages 156 à 163, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 14 - Le Premier soir de Carême (The First Night of Lent, 1956), pages 164 à 173, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 15 - L'Heure du grand départ (The Time of Going Away, 1956), pages 174 à 183, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 16 - Et l'été ne dura qu'un jour… (All Summer in a Day, 1954), pages 184 à 191, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 17 - Le Cadeau (The Gift, 1952), pages 192 à 195, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 18 - La Collision mémorable de lundi dernier (The Great Collision of Monday Last, 1958), pages 196 à 205, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 19 - Les Petites souris (The Little Mice, 1955), pages 206 à 213, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 20 - Coucher de soleil sur la plage (The Shoreline at Sunset, 1959), pages 214 à 226, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 21 - La Vitre couleur fraise (The Strawberry Window, 1955), pages 227 à 239, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY 22 - Le Jour où la pluie tomba (The Day It Rained Forever, 1957), pages 240 à 254, nouvelle, trad. Jacqueline HARDY